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Combien rapporte un sub Twitch en 2025 ? chiffres réels, explications et exemples

combien rapporte un sub twitch en 2025

Sur Twitch, chaque sub compte , littéralement. Car derrière ce petit bouton violet d’abonnement se cache une question qui taraude les créateurs comme les curieux : combien ça rapporte, un sub Twitch ? Le streaming a explosé ces dernières années, transformant des gamers passionnés en véritables entrepreneurs du divertissement.

Dans cet article, on met les mains dans l’overlay pour vous donner une réponse claire, chiffrée et actuelle. Vous saurez enfin combien touche réellement un streamer par sub, qu’il soit affilié ou partenaire, en France ou ailleurs.

On passera au crible les trois paliers d’abonnement (Tier 1 à 3), les écarts de rémunération selon le pays du viewer, et les meilleures stratégies pour augmenter la valeur de chaque sub. Ce guide est pensé pour les créateurs qui veulent monétiser leur contenu sans tomber dans les illusions, et pour ceux qui envisagent sérieusement de faire du stream un revenu stable.

Comment fonctionne un sub sur Twitch ?

Qu’est-ce qu’un sub ?

Sur Twitch, un sub (abréviation de « subscriber ») est un abonnement payant à une chaîne, proposé aux viewers qui souhaitent soutenir activement leur créateur préféré. Il ne s’agit pas d’un simple « like » ou d’un « follow » gratuit, mais bien d’un acte de soutien financier, renouvelé tous les mois.

Côté abonnés, les avantages sont clairs : accès à des emojis personnalisés, badge VIP dans le chat, suppression des pubs (si activée par le streamer), et parfois même du contenu exclusif. Bref, un sub Twitch, c’est à la fois un soutien symbolique… et un vrai ticket d’entrée dans la communauté.

Les différents paliers (tiers)

Twitch propose trois niveaux de sub :

  • Tier 1 : 4,99 € par mois (ou 4,99 $ dans la version internationale)
  • Tier 2 : 9,99 €
  • Tier 3 : 24,99 €

Chaque palier permet au viewer d’accéder à des contreparties exclusives, fixées librement par le streamer : émoticônes supplémentaires, accès à un Discord privé, priorités pour les jeux en live, etc. En clair, plus le sub est haut, plus la relation est étroite avec le créateur.

Pour les streamers, chaque palier représente un niveau de rentabilité différent, mais la base du calcul reste la même : une part des revenus versée par Twitch, après prélèvements.

Le statut du streamer : affilié vs partenaire

Avant de toucher quoi que ce soit, encore faut-il être éligible.

  • Le statut affilié est accessible à partir de 50 followers, 3 viewers de moyenne et 500 minutes de stream en 30 jours.
  • Le statut partenaire, lui, demande 75 viewers de moyenne et un engagement plus soutenu.

Ce statut change tout. Pourquoi ? Parce qu’un affilié touche environ 50 % du montant du sub, tandis qu’un partenaire peut monter jusqu’à 70 %, selon son contrat avec Twitch.

Mais ce n’est pas tout : les partenaires accèdent aussi à plus d’emplacements d’emoji, à une meilleure qualité de stream, et à des outils marketing avancés.

Sur RocketLikes, on accompagne justement les streamers qui veulent booster leur visibilité pour atteindre ces statuts plus rapidement : acheter des followers Twitch peut être une première étape pour débloquer la machine.

Combien gagne un streamer par sub Twitch ?

Répartition des revenus

Twitch fonctionne comme une place de marché du live : vous apportez le contenu, ils gèrent l’infrastructure… et prennent leur part au passage.

Voici la répartition standard :

  • Affilié : Twitch garde 50 % du prix du sub.
  • Partenaire : Twitch garde 30 %, parfois moins si le streamer est très influent.

Ainsi, sur un sub Tier 1 à 4,99 €, un affilié gagne environ 2,50 € brut, tandis qu’un partenaire peut toucher jusqu’à 3,50 €.

Sur un Tier 3 à 24,99 €, le revenu peut monter à 12,50 € voire plus.

Données chiffrées concrètes en 2025

Voici quelques repères réalistes (hors TVA et frais) selon les pays :

Type de SubPaysPrix payéRevenu streamer affiliéRevenu streamer partenaire
Tier 1France4,99 €~2,49 €~3,49 €
Tier 1États-Uni s4,99 $ (~4,60€)~2,30 €~3,20 €
Tier 1Turquie0,99 $ (~0,91€)~0,40 €~0,60 €

Le sub Twitch localisé (modèle économique lancé par Twitch depuis 2021) a réduit les revenus dans les pays à faible pouvoir d’achat, ce qui oblige les streamers à compenser par du volume.

Ce qui reste après les frais

Au-delà du « prix affiché », le streamer doit prendre en compte plusieurs frais :

  • TVA (20 % en France, déduite par Twitch avant partage)
  • Commissions bancaires (notamment pour les retraits via Payoneer ou virement SEPA)
  • Conversion monétaire si le viewer paie dans une autre devise

Exemple : sur un sub à 4,99 € en France, avec TVA déduite (0,83 €) et répartition 50/50, le streamer touche environ 2,08 € net réel, parfois moins selon les plateformes de retrait utilisées.En résumé, le sub Twitch n’est pas un pactole, mais bien une brique parmi d’autres dans une stratégie de monétisation solide. Et c’est justement là que RocketLikes peut intervenir, en aidant les streamers à atteindre plus vite la masse critique pour que chaque sub… fasse vraiment la différence.

Les variations selon le pays et la devise

Pourquoi Twitch adapte les prix localement ?

Twitch n’applique pas le même tarif partout dans le monde. Depuis 2021, la plateforme a introduit une tarification localisée : l’idée, c’est de proposer un prix adapté au pouvoir d’achat local, pour éviter que 5 € par mois ne devienne un luxe dans certains pays.

Prenons deux exemples :

  • En Turquie, un sub Tier 1 coûte 0,99 $ (soit moins d’1 €).
  • Au Brésil, on tourne autour de 7,90 BRL, soit environ 1,40 €.

Sur le papier, c’est une bonne nouvelle pour les viewers locaux. Mais côté créateurs ? L’impact est frontal : le revenu par sub chute drastiquement. Un sub brésilien peut rapporter à peine 0,40 € net à un affilié. Autrement dit, il faut trois subs en Turquie pour gagner ce qu’un seul sub français rapporte.

Impact sur les revenus du streamer

Ce système crée une fracture pour les chaînes multilingues ou à audience internationale. Un streamer francophone avec une communauté dispersée entre la France, le Maghreb et l’Amérique latine peut voir ses revenus par sub divisés par deux, voire trois, à volume égal.

Exemple concret :

Pays du viewerPrix du sub Tier 1Revenu streamer affilié
France4,99 €~2,50 €
Brésil1,40 €~0,65 €
Turquie0,91 €~0,40 €

Ce phénomène pousse certains créateurs à adapter leur contenu à une audience « premium », ou à renforcer d’autres leviers de monétisation..

Combien faut-il de subs pour bien vivre de Twitch ?

Simulation de revenus mensuels

Si vous vous posez la question « combien de subs faut-il pour vivre ? », la réponse tient à un mot : volume.

Voici des estimations réalistes pour un streamer affilié, avec 80 % de subs Tier 1, 15 % de Tier 2 et 5 % de Tier 3 :

Nombre de subsRevenu brutRevenu net estimé*
100 subs~500 €~400 €
500 subs~2 500 €~2 000 €
1000 subs~5 000 €~4 000 €

*Estimation après commissions Twitch, TVA, et frais.

Spoiler : 100 subs ne suffisent pas pour couvrir un loyer et vivre confortablement. Ce n’est pas un game over, mais ça montre l’importance de diversifier ses revenus et de viser la masse critique de 500 à 1 000 subs actifs.

Seuil de rentabilité d’un petit streamer

Le « vrai » coût du streaming est souvent sous-estimé. Entre l’achat de matériel (caméra, micro, éclairage), les logiciels, la connexion fibre, et le temps passé off-camera (community management, montage, etc.), le métier est exigeant.

À cela s’ajoutent :

  • Les charges sociales si vous vous déclarez (auto-entreprise ou statut pro)
  • L’absence de stabilité (revenus variables d’un mois à l’autre)
  • Le coût psychologique du direct permanent

Résultat : pour « vivre de Twitch » en solo, il faut en moyenne 1 500 à 2 000 € net par mois, ce qui implique souvent plus de 500 subs actifs + d’autres revenus (dons, pub, sponsor, YouTube…).

Exemples de streamers connus (chiffres publics)

Quelques repères inspirants (mais à prendre avec recul) :

  • Ponce : +6 000 subs en moyenne, soit ~15 000 €/mois brut rien qu’en subs.
  • Baghera Jones : autour de 2 500 subs, revenus estimés à 6 000–7 000 € brut avec d’autres sources.
  • AmineMaTue : souvent au-dessus de 10 000 subs, ce qui place ses revenus Twitch dans le haut du panier francophone.

Mais ces chiffres sont trompeurs si on oublie qu’ils ont une communauté massive, des sponsors solides, des chaînes YouTube en parallèle, et parfois des équipes derrière eux.

En clair : le sub Twitch ne fait pas tout. C’est un levier, pas une fin en soi. Et sur RocketLikes, on le sait : pour atteindre les 500 subs, il faut d’abord créer la visibilité.

Sub Twitch vs autres sources de revenus

Bits, pubs et dons : quelle rentabilité ?

Si les subs Twitch sont la colonne vertébrale du revenu pour beaucoup de streamers, d’autres sources viennent compléter le tableau… mais avec des résultats très inégaux.

  • Bits : Twitch reverse 1 centime par bit. Un viewer qui offre 100 bits vous fait gagner 1 € brut, avec une commission prélevée au moment de l’achat côté viewer. C’est ponctuel, pas récurrent.
  • Publicité : à moins d’avoir des centaines de viewers simultanés, les revenus publicitaires sont faibles. En moyenne, un streamer gagne entre 0,10 € et 1 € pour 1 000 vues selon la catégorie.
  • Dons : plus flexibles (via PayPal, Tipeee, etc.), mais irréguliers. Ils peuvent rapporter gros un soir… et rien pendant deux semaines.

Comparé à un sub Twitch régulier et fidèle, ces sources sont souvent instables. Le sub reste la seule forme de revenu récurrent, simple à estimer et à construire sur le long terme.

Sponsoring, merch, YouTube…

Les streamers qui vivent confortablement de leur activité savent une chose : diversifier, c’est sécuriser.

  • Sponsoring : une marque peut payer entre 100 € et 1 000 € la session selon votre audience. Mais elle exige des stats, de l’engagement… et de la régularité.
  • Merchandising : vendre ses t-shirts, hoodies ou mugs ? C’est possible dès qu’on a une communauté fidèle. Les marges sont variables, mais l’effet de marque est puissant.
  • YouTube : en recyclant vos replays ou best-ofs, vous touchez une nouvelle audience et ajoutez des revenus passifs via la pub. Avec 10 000 vues par mois, vous pouvez générer 30 à 70 € environ.

Ces leviers permettent de ne pas dépendre uniquement des subs, mais ils prennent du temps à mettre en place. L’idéal ? Les activer une fois que vous avez déjà une base solide d’abonnés Twitch.

Les stratégies de streamers qui cartonnent

Les streamers qui explosent ont un point commun : ils traitent chaque sub comme une récompense, pas comme un dû.

Voici quelques leviers puissants :

  • Récompenses visibles : un nouveau sub déclenche une alerte fun en live, un “merci” personnalisé, un badge unique…
  • Contenus exclusifs : accès à des VOD privées, à un Discord réservé aux abonnés, ou à des jeux avec la communauté.
  • Objectifs communautaires : « À 200 subs, je fais un live 12h », ou « À 500 subs, je dévoile un projet secret ». La FOMO (peur de manquer) fait le reste.

Sur RocketLikes, on voit clairement que les créateurs qui créent un lien fort avec leurs abonnés génèrent plus de fidélité , et donc plus de stabilité.

Comment maximiser ses revenus par sub ?

Optimiser ses paliers

Trop de streamers laissent leurs Tier 2 et Tier 3… vides. Pourtant, ce sont des leviers à forte marge : un Tier 3 rapporte jusqu’à 12,50 € net par mois.

Idées simples :

  • Ajouter des emojis exclusifs aux Tiers supérieurs
  • Proposer un rôle spécial sur Discord
  • Lancer un « mur des légendes » pour les top subs

Le tout avec un call-to-action intelligent en stream : “Tu veux soutenir encore plus ? Les subs Tier 2 débloquent des bonus rien que pour toi.”

Construire une communauté engagée

Un sub Twitch, c’est une preuve d’engagement. Mais cet engagement se construit en dehors du stream aussi :

  • Serveur Discord actif
  • Lives réservés aux abonnés
  • Création de rituels (live chaque dimanche, café du matin, etc.)

Et surtout : reconnaître chaque sub comme un pilier, pas comme un chiffre. Ce sont ces micro-interactions qui font que des viewers deviennent des abonnés, puis des ambassadeurs.

Augmenter son nombre de subs sans forcer

Pas besoin d’implorer les subs à chaque stream. Il suffit d’orchestrer des moments forts :

  • Sub goals visuels sur l’overlay
  • Marathon de 12h pour fêter un palier
  • Invitations croisées avec d’autres streamers (raiding, co-stream)

Résultat : plus d’énergie, plus d’interactions, plus de visibilité. Et tout ça… sans quémander.

Un sub Twitch ne paie pas le loyer à lui seul

Mais bien intégré dans une stratégie claire, il devient un levier puissant : prévisible, durable, engageant. À condition de comprendre ce qui influe sur sa valeur réelle : votre statut (affilié/partenaire), le pays du viewer, le niveau du sub, et surtout… l’intensité de votre lien avec votre communauté.

En 2025, la monétisation sur Twitch ne repose plus sur un seul pilier. Ce sont l’audience + la récurrence + l’image de marque qui font la différence.

Vos questions les plus fréquentes sur combien rapporte un sub

Combien rapporte un sub Twitch Tier 1 ?

Un sub Tier 1 à 4,99 € rapporte en moyenne 2,50 € net pour un affilié et jusqu’à 3,50 € pour un partenaire.

Twitch prend quelle part des subs ?

Twitch prend 50 % pour les affiliés et 30 % maximum pour les partenaires, selon le contrat.

Les subs internationaux rapportent-ils différemment ?

Oui : dans certains pays comme la Turquie ou le Brésil, un sub peut ne rapporter que 0,40 € à 0,65 € au créateur.

Un sub Tier 3 rapporte combien ?

Un sub Tier 3 à 24,99 € peut rapporter jusqu’à 12,50 € net, voire plus pour les partenaires.

Y a-t-il des frais supplémentaires sur les revenus ?

Oui : la TVA, les frais bancaires et de conversion monétaire peuvent réduire le revenu final de 0,20 à 0,50 € par sub.

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Expert des réseaux sociaux

Expert en réseaux sociaux et diplômé en marketing digital, je développe des stratégies qui optimisent la visibilité et l’engagement sur des plateformes comme Instagram, YouTube, TikTok et Facebook. Je suis également responsable éditorial sur le blog de RocketLikes, je partage des conseils pratiques pour aider les marques à renforcer leur présence en ligne et à créer des communautés engagées.

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